On a tous notre madeleine de Proust, je dirais même que l’on en a plusieurs…l’une des miennes est le parfum puissant des grains de café broyés qui embaumaient la minuscule cuisine de ma grand-mère.
Ce parfum suscitait en moi une sorte de réflexe de Pavlov. J’aidais toujours à débarrasser la table, sans y être obligée, car…